Programme de doctorat en
Chimie et génie chimique

Mobilité

Mobilité : Séjourner dans un autre centre

Programmes de mobilité : Les bourses de stage durent généralement trois mois maximum par année de thèse. Ce délai est suffisant pour obtenir la reconnaissance internationale du diplôme. Les étudiants à temps plein et à temps partiel sont éligibles à ces bourses.

Nombre d'heures : 480

Description:

Description : Tous les acteurs impliqués dans la formation des doctorants s'accordent sur l'intérêt d'effectuer des séjours dans d'autres centres, pouvant conduire à l'obtention de la Mention européenne ou internationale pour la thèse et du diplôme de doctorat. C'est pourquoi l'ULL envisage et met en place un programme de bourses pour effectuer des séjours dans d'autres centres liés au développement de la thèse, et l'école doctorale encourage les étudiants à le faire. Il s'agit d'un appel à candidatures annuel, dont les modalités sont disponibles sur le site web suivant.
L'objectif du séjour varie, mais en général, il s'agit pour les étudiants de se former à des techniques expérimentales complémentaires à leurs études ou à des caractérisations impossibles à réaliser dans le centre d'origine. La procédure de candidature à la Mention Internationale de l'ULL est disponible à l'adresse suivante : ici L'étudiant doit effectuer cette activité pendant 480 heures, ce qui correspond à un séjour de trois mois dans un centre de recherche étranger. Cette durée est déterminée car les bourses de séjour sont généralement accordées pour une durée maximale de trois mois par année de thèse. Cette durée est suffisante pour obtenir la reconnaissance internationale du diplôme. Les étudiants à temps plein et à temps partiel sont éligibles à ces bourses.

Compétences : Les compétences CB11-CB16, CA02-CA06 sont travaillées, selon la liste des compétences du titre.

Nature : Optionnel, au cours de la deuxième ou de la troisième année du doctorat.

Langue: Anglais

Procédure de contrôle : La subvention étant attribuée sur concours, un rapport détaillant l'activité à mener doit être établi. À l'issue de ce processus, un rapport signé par un chercheur responsable du centre bénéficiaire doit être soumis. Ce rapport est ensuite examiné par un comité scientifique du centre d'origine, qui assure le suivi de l'activité.